Les entreprises de notre région sont confrontées au défi de l’attraction et de la rétention de la main-d’oeuvre spécialisée, un enjeu qui préoccupe de nombreux responsables des ressources humaines. Les blogues spécialisés regorgent de trucs pratiques et de conseils d’experts pour gagner la “chasse aux talents”. Développement de la “marque employeur”, horaires flexibles et autres conditions de travail favorisant la conciliation travail-famille: différents moyens peuvent en effet être mis en oeuvre.
Mais au-delà de ce qu’offre l’employeur, un nouvel emploi, pour un candidat qui réside à l’extérieur de la région, c’est aussi un nouveau milieu de vie. Ainsi, les atouts de La Matanie seront certainement un élément important dans le choix de l’éventuelle recrue. “Est-ce que cette ville m’offre les infrastructures de loisirs me permettant de pratiquer mon sport favori? Y a-t-il des propriétés abordables dans les municipalités avoisinantes? Est-ce que la région permet une vie culturelle dynamique?” Ce sont là des questions que le recruteur n’abordera peut-être pas en entretien d’embauche, et pour lesquels le candidat aura pourtant besoin de réponses.
Le Service d’accueil des nouveaux arrivants de La Matanie (SANAM) offre justement un service de visite personnalisé pour le candidat qui vient rencontrer une entreprise de la région dans une perspective d’embauche. Par la suite, si l’entrevue est concluante et que le nouvel employé s’installe dans la région, le SANAM favorise l’installation du nouvel arrivant et de sa famille.
Un service bien pratique pour un employeur comme Pause Café Mat, de Matane. Le directeur général, Martin Couture, a apprécié le support à la recherche de logement pour son nouveau technicien qui arrivait de Montréal début octobre et qui devait trouver un appartement très rapidement.
Votre entreprise aimerait aussi bénéficier de ce service?
Pour les candidats et employés de plus de 35 ans et les personnes immigrantes, contactez-nous. Pour les candidats et employés de moins de 35 ans, contactez l’agente de migration Marie-Claude Soucy.